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| Retraite avec saint LucPère Jean-Dominique Fabre
Emporté par le tourbillon de ses activités, toujours distrait, trop souvent inquiet, l'homme aspire à se poser, enfin ! Il sent le besoin de ne plus bouger, de ne plus courir après le temps, de se laisser gagner par le silence et par la paix, afin de se remettre face à la vérité qui, elle, ne bouge pas. Tel est le but d'une retraite, qu'elle soit prêchée ou solitaire, qu'elle dure cinq jours ou dix minutes. Une retraite est un apaisement, un rajeunissement de l'âme, un ressourcement.
Pour un tel travail de renouvellement, l'Evangile selon saint Luc se présente comme un guide sûr et fraternel.
Médecin de profession, artiste par goût, converti par la prédication des premiers chrétiens à Antioche, saint Luc n'a pas connu Jésus personnellement. Il dut mener un minutieuse enquête auprès des témoins de la vie terrestre du Sauveur, afin de «connaître exactement toutes choses depuis l'origine» (Lc 1, 3). En particulier, il put recueillir de la bouche de la sainte Vierge Marie les confidences les plus précises et les plus touchantes au sujet de l'enfance du Christ. Son récit garde la fraîcheur de ces précieux entretiens.
La lecture lente et réfléchie du texte de saint Luc met en évidence le don particulier du converti d'Antioche. Tout, chez lui, part du plus profond des coeurs où il voit Dieu à l'oeuvre. Il est un maître de vie intérieure. Comme le pêcheur du lac de Tibériade, saint Pierre, est devenu pêcheur d'hommes, le médecin des corps s'est mué en médecin des âmes.
Nous ouvrons donc le saint Evangile selon saint Luc avec cette requête : Créez en moi, Seigneur, un coeur nouveau, un coeur large, un coeur paisible, un coeur magnanime, un coeur selon l'Evangile.
15 x 22 cm - 292 pages - Editions du Saint Nom |
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| Le droit naturelPhilippe Pichot-Bravard
Qu’est-ce que le droit naturel ? Doit-on le définir en lien avec une loi naturelle préexistante ? Comment la pensée d’un droit naturel peut-elle intéresser l’ensemble du genre humain ?
L’étude du professeur Philippe Pichot-Bravard paraît au moment où l’adoption de lois sociétales bouleverse les repères philosophiques, éthiques voire écologiques hérités de notre civilisation judéo-chrétienne. Sa réflexion s’attache à caractériser cette notion de droit naturel pour nous en rappeler l’antique contenu, codifié notamment par le Décalogue biblique mais également la permanence et l’évolution à travers les âges.
Sans le socle du droit naturel, l’État de droit perd toute consistance, consistance indispensable à l’harmonie d’un ordre législatif, politique, économique et social juste.
À l’heure où la vie humaine et celle de notre planète sont menacées, le droit naturel est celui de la Vie.
(Préface du cardinal Raymond L. Burke, avant-propos du P. Jean-Rémi Lanavère)
13 x 20 cm - 182 pages - Editions Via Romana
Philippe Pichot-Bravard est docteur en droit. Maître de conférences à l’université de Brest, chargé de cours à l’université d’Angers et à l’Institut catholique d’études supérieures (La Roche-sur-Yon), il enseigne l’histoire du droit public et l’histoire des idées politiques. |
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| Méditations quotidiennes - PrintempsPère Jean-François Thomas
Tout au long de l’histoire de l’Église, nombreux furent les chrétiens soucieux de consacrer un temps de prière, méditation, contemplation au fil de leur quotidien. De nombreux ouvrages ont ainsi proposé un chemin de sanctification du corps, de l’âme et de l’esprit avec pour apogée les XVIIe et XIXe siècles en France et en Europe.
Ce livret très accessible à tous n’a pas la prétention d’égaler les écrits des grands auteurs mystiques ou maîtres spirituels, mais de frayer au fil des jours une voie de conversion intérieure pour tous. À l’école de la direction spirituelle d’éminents représentants de la Compagnie de Jésus, saint Ignace, saint François-Xavier, de l’Écriture sainte et des Pères, des saints et des martyrs, ces méditations pour chaque jour ouvrent l’intelligence au sain discernement, délivrent l’âme des pièges de l’orgueil et du matérialisme, nourrissent l’amour de Dieu et du prochain dans les gestes de la vie ordinaire pour le bien de l’homme, la gloire du Christ, de son Église et le salut de la France et du monde.
Prêtre jésuite né en 1957, le Père Jean-François Thomas fut professeur de philosophie et missionnaire aux Philippines où il se consacra à la sauvegarde des enfants des rues. Il a notamment publié chez Via Romana Chemin de croix (2017) et Méditations des mystères du rosaire (2021). Il participe très régulièrement à l’émission télévisée « Les belles figures de l’Histoire » sur CNews.
10 x 16 cm - 280 pages |
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| Euthanasie, stade suprême du macronismeJean-Claude Martinez
Ses tenants ont beau la magnifier comme le bouquet final d’un feu d’artifice des mille libertés, l’euthanasie n’est que le produit d’une économie et d’une politique. C’est parce que l’Europe de toutes les restrictions est devenue un océan de récession du fond duquel ne monte plus aucune espérance nouvelle, que les dirigeants, dont ceux de la France, financièrement acculés, choisissent en effet « la piqûre pour tous ». Comme une seringue d’or facilitant leur quête d’équilibres budgétaires, dans un bouillon d’inculture qui sent le ranci des vieilles idéologies, du malthusianisme au nouvel obscurantisme. Quand ce n’est pas le dernier racisme pratiqué : l’anti-vieux !
Mais les idiots utiles de droite se préparent à vendre la seringue pour se faire piquer, pendant que ceux de gauche travaillent déjà à se la faire rembourser, sans jamais comprendre que le mal de celui qui veut mourir vient de plus loin que la maladie qu’il affronte. Car s’il parle de mourir, tant sa souffrance est grande, c’est parce qu’il n’a personne pour la partager et lui donner des raisons d’espérer.
La loi sur l’euthanasie, loin d’être l’extase de la République, dans la fraternité compassionnelle des injections, n’est alors que la fuite en avant d’une société qui, ne voulant pas voir les détresses qu’elle crée, préfère éliminer tous ceux qui viennent les lui rappeler. En racontant en plus au passage que c’est au nom de leur liberté qu’on les fait piquer.
Ce cynisme et cette hypocrisie des « conventions pharisiennes » qui l’ont habillée, ce livre les débride, en disant les raisons de la colère à voir une loi nous faire mourir avec une longueur d’avance, au moment même où se déploie le génie de notre espèce sapiens.
Jean-Claude Martinez, professeur agrégé de droit public et de sciences politiques, Université Paris-II Panthéon-Assas, a été vingt-deux ans député national et européen.
14 x 21 cm - 228 pages - Editions Via Romana |
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| Eric Zemmour - Je n'ai pas dit mon dernier motJ'ai vu ce qu'un journaliste ne pourra jamais voir et je vous dis ce qu'un politique ne pourra jamais dire.
Je pensais bien connaître le milieu politique. Puis je suis entré dans l'arène et j'ai été surpris chaque jour. Les pièges, les coups bas, les coups de théâtre, les faux-semblants, les faux amis, tous les arcanes de cet univers : les médias qui l'animent, le conditionnent, le détournent, le retournent ; les sondeurs qui le façonnent et les politiciens qui en vivent.
Ces rouages bien huilés d'un milieu que j'ai dérangé.
Vous allez vivre à mes côtés cette campagne hors normes, belle, risquée, haletante, comme on ne vous l'a jamais montrée, et tout savoir de mes fiertés, de mes regrets, mes angoisses et mes plus belles rencontres.
Je vous livre ce que j'ai appris de notre pays, de notre peuple, ses fractures, ses espoirs, ses paradoxes et ses combats à venir, tout ce que cette élection va enfanter dans les mois, les années à venir.
Vous l'aurez compris : je n'ai pas dit mon dernier mot.
340 pages - 15 x 24 cm - Editions Rubempré
SOLDES : 21,90 EUROS / 9.90 EUROS |
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| Russes et Ukrainiens, les frères inégaux du moyen âge à nos joursAndreas Kappeler
Depuis l'annexion de la Crimée et le déclenchement du conflit du Donbass en 2014, l'Ukraine a été constamment confrontée à diverses formes de pression militaire de la Russie. L'invasion de 2022 témoigne de la volonté obstinée du régime de Poutine de mettre sous tutelle son voisin occidental, voire d'anéantir l'État ukrainien. La guerre, justifiée à Moscou par des nécessités soi-disant historiques, s'appuie sur une vision impériale selon laquelle le destin de la Russie serait de contrôler les territoires qui l'entourent.
Un détour par l'histoire s'impose pour mettre à nu cet édifice idéologique. Andreas Kappeler analyse ici avec finesse l'évolution des rapports entre l'Ukraine et la Russie depuis le milieu du Moyen Âge. Il nous montre pourquoi l'unité prétendue naturelle des peuples ukrainien et russe est un mythe. Si les deux peuples se disputent encore l'héritage du "berceau commun" de la Rou's de Kyiv, leurs trajectoires diffèrent à partir du XIIIe siècle. Il est essentiel de revenir sur les interactions, les rencontres entre ces "frères inégaux", mais aussi sur les processus de distanciation et de construction des identités nationales, ainsi que sur les cultures mémorielles et usages politiques différenciés de l'histoire.
Une remise en perspective, sur le temps long, de la première guerre européenne du XXIe siècle.
460 pages - Editions du CNRS |
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