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Les trois peuples bibliques

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Les trois peuples bibliquesJulio Meinvielle

L’auteur décrit le combat que se livrent chrétiens, païens et juifs : lutte véritablement eschatologique aussi bien avant qu'après Jésus-Christ. Meinvielle remonte à Abraham, et voit comment ces peuples essayent de conquérir le monde, jusqu'à nos jours. Il situe les musulmans à mi-chemin du paganisme et du christianisme, il font donc l'objet d'un paragraphe à part.

Extraits : "Dieu ne créa pas les peuples dans le paganisme. Même après la chute, Sa divine miséricorde réconforta l'homme en lui donnant les moyens nécessaires pour son salut éternel (...) Le paganisme est l'infidélité des hommes à cette loi. (...) Aussi, Dieu se réserva-t-il un peuple qui fut son peuple et dans lequel se conserverait intacte la révélation primitive que Dieu avait communiquée aux premiers parents de l'humanité (...). Ce peuple, que Dieu protège tout spécialement, nous a apporté le Rédempteur, la mère du Rédempteur et les Apôtres qui forment la base du tronc de l'Église du Christ. (...) Mais ce peuple (juif), adhérant au signe et à la figure, a perdu la substance du salut, qui est le Christ (...)". Les peuples chrétiens, peuple de la réalisation de la promesse, c'est l'Eglise.

Suivi de Entre l’Église et le IIIe Reich, sur la guerre du nazisme contre l'Église catholique et Nouveaux problèmes politique qui s'intéresse à l'apparition des divers nationalismes, dont Salazar, Franco, etc.)

Né le 31 août 1905 à Buenos Aires, Julio Meinvielle fut ordonné prêtre en 1930 et exerça dans cette même ville un ministère très fructueux. Joignant l’étude à l’apostolat, imprégné de la saine doctrine qu’il puisait dans les enseignements du Magistère et de saint Thomas d’Aquin, il fut l’un des plus grands esprits de son époque. Il analysa avec attention les importantes évolutions politiques qui marquèrent la première moitié du XXème siècle, et sut développer ainsi, avec une grande sûreté de jugement, la philosophie et la théologie de l’histoire.

Il prit place parmi les grands auteurs thomistes de son temps, Garrigou-Lagrange, De Koninck, Lachance... pour défendre les vérités catholiques attaquées. Le Père Meinvielle dénonça en particulier les graves erreurs politiques qui, à l’instar du personnalisme de Maritain, devaient triompher plus tard, lors du concile Vatican II. Il prit aussi vigoureusement position contre la « nouvelle théologie » des Congar, Schillebeeckx et autre Rahner. Meinvielle luttera spécialement contre ce dernier jusqu’à sa mort. Pasteur zélé autant que théologien averti, il mourut le 2 août 1973.

16 x 24 cm - 114 pages