Apaiser la Terreur : ce qu'en dit la presse

Apaiser la Terreur : ce qu'en dit la presse

« À l'heure du martyre, les plus âgées avaient 78 ans et la plus jeune, sœur Constance, 29 ans. Chaque jour, ces carmélites s'offriraient en holocauste à Dieu. Pourquoi ? Par peur ? Par douleur ? Non ! plus simplement par pur amour. Elles se donnaient pour ''apaiser la Terreur''. Non pas pour elles mais pour leurs frères. Écrit avec une grande rigueur historique, ce livre n'en est pas moins d'une grande élévation spirituelle. » 
L'Homme nouveau

« Cette véritable histoire des carmélites est semée de signes de Dieu. Plusieurs événements sont au cœur du mystère de leur vocation. D'abord la découverte par Madame Lidoine, dans les archives du couvent, d'un document relatant le chant mystique prophétique d'une carmélite de Compiègne du XVIIe siècle qui apparaît à la prieure comme un appel clair, pour elle et ses Sœurs, à suivre l'Agneau immolé. (…) Ensuite elles sont expulsées du carmel le 14 septembre 1792, en la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, premier signe de leur chemin de croix. Réparties dans Compiègne en quatre groupe, vêtues de hardes civiles empruntées (le port de l'habit monastique est interdit), pendant ving-deux mois, elles s'efforcent de vivre, envers et contre tout, leur vie de carmélites. (…) Selon un témoin oculaire, elles sortent du tribunal rayonnantes de joies, prêtes pour les noces avec l'Agneau immolé. » 
Famille chrétienne (n° 1320 du 12 juillet 2003)

« Si l'on veut tirer un message de l'exemple des carmélites de Compiègne, je dirais que c'est tout simplement l'antique message de l'Église de Dieu (…) : le martyre nous reste toujours comme suprême témoignage. Le reste n’est pas important. Dieu s'est manifesté à la place du Trône, le soir de l'exécution des carmélites, autant par le silence total de la foule que par l'impression qu'ont eu les témoins oculaires d'assister à quelque chose de vraiment extraordinaire. Ce soir-là, Dieu s'est montré plus puissant que la Grande Terreur » 
(Entretien avec l'auteur dans le quotidien Présent)

« L'auteur montre comment ces saintes religieuses ont offert pendant des mois le sacrifice de leur vie pour qu'il serve à mettre fin à l'épouvantable terreur qui sévissait en France. Elles étaient tellement persuadées d'être exaucées qu'elles sont montées à l'échafaud en chantant le Magnificat. Et de fait, quelques jours après leur martyre, c'était au tour du sinistre Robespierre de tomber sous le couperet de la guillotine. » 
Una Voce

« W. Bush a lit ce martyre des carmélites de Compiègne comme un sacrifice mûrement réfléchi et préparé spirituellement (…). Avec un art admirable des portraits successifs, l'auteur raconte le martyre de 1794 à un songe prémonitoire (…). Un excellent livre, agréable à lire, d'un grand intérêt historique en même temps qu'une admirable leçon spirituelle. » 
Yves Chiron, La Nef

 

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